la livraison spéciale Convention Internationnale relative aux Droits

Publié le par askatu

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Salut ! C'est Clément du Bafa de Narcastet de début Juillet. Jeudi apres midi, je faisais ma premiere scene de slam devant un public d'une cinquantaine de personne ( pas encore bercy) et puis apres ce pur moment de bonheur, j'ai repensé a toi, a la soirée du bafa ou tu nous avais raconté tes histoires et ce qui m'a donné ensuite envie de m'inscrire a l'atelier slam...Ils sont loin ces moments maintenant, et malgré les promesses on a tous fini par se séparer et perdre contact...les mots ont beau avoir leur force, ce n'est et ce ne seront que des mots...En tout cas le slam me passionne et je pense que je vais continuer a faire d'autres scenes, je me sens attiré toujours un peu plus vers les arts mais toujours encore plus vers le social...je vais devoir tenter de mélanger les deux a l'avenir.Enfin voila je raconte ma vie comme ça, je voulais juste donner des nouvelles de moi apres avoir repensé a tout ça et j'espere que tu vas bien et que tu continues aprement les stages bafa et les soirées radios.Bonne continuation a toi et que le meilleur t'arrive. Un poeme pour la route :A l’aube de nos plumesSaisir ces horizons qui nous fuientEntre le soleil et la brumeRefléter nos visages dans une pluieNous touchions les cieuxAu bout de nos doigts furent les étoilesAvant de faire leurs adieuxAlignèrent un espoir sous nos voiles Viens avec moiTant qu’il en est encore tempsQue je te montre au moins une foisCes paysages d’antan Viens avec moi Tant qu’il en est encore tempsVibrer au moins une foisAu son des rires d’un enfant Viens avec moiTant qu’il en est encore tempsDemander enfin pourquoiLes éléphants roses sont grisonnants On a perdu tous nos versDepuis qu’ils ne sont plus luisantsFaisant de nos écrits un enferBrûlant nos strophes en échecs cuisants RienNon rienN’est plus comme ce temps Ta chevelure était harmonieComme tes rimes sur ces papiersJe plongeais mes phalanges dans cet infiniQue ta candeur a voulu laisser s’évaderNos cœurs prisonniersD’une geôle de littératureNos mains liées, à t’enfermerDans le pénitencier de mes raturesMaintiendront le fil de nos vécusTous ces souvenirs protégésPuisqu’un jour tout sera perduA l’ombre d’une aiguille détournée Il y a eu les bancs de l’écoleTous en rang pour marcher au pasOù cette perte de temps nous désoleSans dire, de nous, ce qu’elle feraAlors ensemble on grimpe aux arbresPour étudier cette école buissonnièreCroyant pouvoir échapper au marbreEn nous immortalisant dans nos vers Toi et moiA courir sur les dunesNous lançant des boules de neigesPuis graver sur ce liègeComme une plume sur l’enclumeNos prénoms en amourA l’intentionDe ces passants, pour toujours,Par addition Nous étions poussièreEt nous le retourneronsJ’espère que les millénaires S’en souviendrontAlors plaçons nos versDans ces gravillonsDe l’asphalte de l’étherAux mers des monts De l’amour, des rêves et des rimes plein la têteParce que nous étions poètes…Et jeunes  http://leviath.skyrock.com
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